Pascal LeBlanc Published on 20 mars 2010
Karine Lambert aime plusieurs choses. La littérature, l’enseignement et les sciences font partie du lot. Avec son premier livre, Zack et ses électrons, elle a réussi à jumeler ses trois passions tout en divertissant les jeunes ados.
Cette Ahuntsicoise en est à ses débuts littéraires, mais ce n’est pas la première fois qu’elle est publiée. Lorsqu’elle avait 12 ans, son conte de Noël Wango et les voleurs d’enfants s’est retrouvé dans les pages du Courrier Ahuntsic.
Biochimiste de formation, elle est aujourd’hui professeure de sciences à Marymount Academy, mais son amour pour l’écriture ne s’est jamais éteint. Ainsi, elle a entamé un certificat en création littéraire à l’Université du Québec à Montréal, alors qu’elle travaillait à temps plein à l’école secondaire. Afin d’obtenir son diplôme, Karine devait rédiger un livre. «J’ai décidé de faire un roman jeunesse, car j’étais toujours dans ma bulle d’enseignante, indique-t-elle. Il s’agit d’un roman fantastique, mais inspiré par ce dont on parle en classe. Certains sujets fascinent davantage les élèves, comme les trous noirs ou les dinosaures, j’ai donc voulu aborder ces thèmes, mais sous un angle différent, pour montrer la beauté de ces sujets.»
Le responsable du certificat a bien aimé le résultat et a suggéré à Karine d’envoyer son œuvre dans l’espoir qu’elle soit publiée. L’auteure s’est fait rappeler quelque temps après et son livre est maintenant disponible dans les librairies depuis quelques semaines.
Avant même de savoir que Zack et ses électrons allait être édité, Karine avait pris la décision de poursuivre ses études en s’inscrivant à la maîtrise. «J’ai eu la piqûre pendant mon certificat. J’ai pris une année sabbatique, parce que je dois entre autres écrire un autre roman», souligne-t-elle.
Ainsi, l’enseignante sera de retour dans sa classe en septembre, mais pour l’instant elle se dédit à l’écriture de son prochain ouvrage, qui traitera de la mémoire. «Il s’agit cette fois d’un roman pour adulte qui va se dérouler dans un milieu scientifique, mentionne l’auteure. La mémoire est ce qui nous définit, mais en même temps c’est difficile à cerner. Le même souvenir peut être relié à des sentiments entièrement différents pour chaque personne. C’est très inspirant comme sujet».
Karine soutient qu’écrire pour des adultes n’est pas si différent qu’écrire pour des jeunes. «Le processus est le même: tu dois écrire pour ton lecteur. Aussi, ce n’est pas parce qu’il s’agit d’un roman jeunesse qu’il faut niveler vers le bas. Je voulais justement que des adultes puissent lire Zack et ses électrons avec leurs enfants et aient un sourire en coin de temps en temps.»
Même si son prochain livre sera destiné aux adultes, Karine ne tourne pas le dos à la littérature jeunesse. «Ce fût très amusant comme expérience et j’ai quelques idées, donc il est fort probable que j’en écrive d’autres. Pour l’instant, je vais laisser Zack faire son chemin.»
Karine Lambert aime plusieurs choses. La littérature, l’enseignement et les sciences font partie du lot. Avec son premier livre, Zack et ses électrons, elle a réussi à jumeler ses trois passions tout en divertissant les jeunes ados.
Cette Ahuntsicoise en est à ses débuts littéraires, mais ce n’est pas la première fois qu’elle est publiée. Lorsqu’elle avait 12 ans, son conte de Noël Wango et les voleurs d’enfants s’est retrouvé dans les pages du Courrier Ahuntsic.
Biochimiste de formation, elle est aujourd’hui professeure de sciences à Marymount Academy, mais son amour pour l’écriture ne s’est jamais éteint. Ainsi, elle a entamé un certificat en création littéraire à l’Université du Québec à Montréal, alors qu’elle travaillait à temps plein à l’école secondaire. Afin d’obtenir son diplôme, Karine devait rédiger un livre. «J’ai décidé de faire un roman jeunesse, car j’étais toujours dans ma bulle d’enseignante, indique-t-elle. Il s’agit d’un roman fantastique, mais inspiré par ce dont on parle en classe. Certains sujets fascinent davantage les élèves, comme les trous noirs ou les dinosaures, j’ai donc voulu aborder ces thèmes, mais sous un angle différent, pour montrer la beauté de ces sujets.»
Le responsable du certificat a bien aimé le résultat et a suggéré à Karine d’envoyer son œuvre dans l’espoir qu’elle soit publiée. L’auteure s’est fait rappeler quelque temps après et son livre est maintenant disponible dans les librairies depuis quelques semaines.
Avant même de savoir que Zack et ses électrons allait être édité, Karine avait pris la décision de poursuivre ses études en s’inscrivant à la maîtrise. «J’ai eu la piqûre pendant mon certificat. J’ai pris une année sabbatique, parce que je dois entre autres écrire un autre roman», souligne-t-elle.
Ainsi, l’enseignante sera de retour dans sa classe en septembre, mais pour l’instant elle se dédit à l’écriture de son prochain ouvrage, qui traitera de la mémoire. «Il s’agit cette fois d’un roman pour adulte qui va se dérouler dans un milieu scientifique, mentionne l’auteure. La mémoire est ce qui nous définit, mais en même temps c’est difficile à cerner. Le même souvenir peut être relié à des sentiments entièrement différents pour chaque personne. C’est très inspirant comme sujet».
Karine soutient qu’écrire pour des adultes n’est pas si différent qu’écrire pour des jeunes. «Le processus est le même: tu dois écrire pour ton lecteur. Aussi, ce n’est pas parce qu’il s’agit d’un roman jeunesse qu’il faut niveler vers le bas. Je voulais justement que des adultes puissent lire Zack et ses électrons avec leurs enfants et aient un sourire en coin de temps en temps.»
Même si son prochain livre sera destiné aux adultes, Karine ne tourne pas le dos à la littérature jeunesse. «Ce fût très amusant comme expérience et j’ai quelques idées, donc il est fort probable que j’en écrive d’autres. Pour l’instant, je vais laisser Zack faire son chemin.»